Moneybounce 2024 : le micro-prêt étudiant disponible instantanément, simple, 100% digital avec une approche responsable et éducative

Mise à jour : 28 juillet 2024 Temp de lecture : 5 min

Arthur Thiele, CEO de Moneybounce, présente à FinMag sa solution digitale et  innovante, lancée en septembre 2020, proposant des mini prêts allant jusqu’à 6000 € maximum et ayant vocation à offrir une éducation financière aux jeunes, pour mieux gérer leur budget et améliorer leur santé financière.

Par Marie-Ange Nodar

Moneybounce 2024 : le micro-prêt étudiant disponible instantanément, simple, 100% digital avec une approche responsable et éducative

Que propose Moneybounce ?

Nous sommes une solution de mini-prêt à destination des étudiants et des jeunes indépendants qui souhaitent lancer leur activité, sur laquelle vous pouvez emprunter de 100 € à 6.000 € en ligne, et rembourser en 1 à 48 mois.

Notre parcours est 100% digital : une fois la demande de crédit effectuée, vous allez recevoir une réponse de principe immédiate sur votre solvabilité concernant votre demande de crédit.

En fonction de cette réponse, vous pouvez signer ou pas votre contrat et recevoir les fonds, soit instantanément, s’ils sont financés par Moneybounce, soit de 48h à 72h après, si l’offre provient de l’un de nos partenaires.

A qui s’adresse votre solution ?

Le marché sur lequel on s’est établi au départ, c’est le marché des jeunes, parce que c’est le marché qu’on connaît le mieux, puisque nous avons lancé Moneybounce alors que nous étions encore étudiants.

Mais quelqu’un qui souhaiterait accéder à un de nos mini-prêts et qui ne serait ni jeune ni indépendant pourrait absolument faire sa demande de crédit chez nous, et nous pourrions la financer.

Presque 30% de notre trafic provient de fait de personnes qui ne sont ni des étudiants ni de jeunes indépendants.

Qui sont vos investisseurs ?

Le produit initial de Moneybounce était un produit d’investissement participatif avec des particuliers ayant un excédent d’épargne et qui souhaitaient financer des étudiants. Soit pour diversifier leur patrimoine, soit parce que ces personnes se sentaient concernées par l’idée de donner un coup de pouce à des jeunes, ou des personnes attirées tout simplement par le concept de Moneybounce.

La majorité de nos investisseurs sont toujours à l’heure actuelle des particuliers. Mais nous travaillons aussi avec des institutionnels, tels que des cabinets en gestion de patrimoine, des fonds, ou des business angels avec de plus gros moyens financiers.

Nous recevons énormément de demandes de financements et manquons d’investissements provenant des particuliers. Nous avons atteint le maximum de nos capacités, d’où notre nécessité de travailler avec de plus grosses structures ayant des fonds de dettes, cela nous permet de répondre à plus de clients, et bien sûr de ne pas financer à perte.

Dans quels types de projets peut-on investir ?

Lorsqu’on présente le produit à notre investisseur, on lui donne le profil type des clients qu’il peut avoir dans son portefeuille.

Nous allons lui présenter des projets de permis de conduire, de financement d’études ou de vie étudiante, d’échanges Erasmus, ou d’achat de matériel pour l’habitation.

On le voit, une multitude de projets sont envisageables, même si 95% de nos investisseurs nous font confiance dans le choix du type d’investissement.

Quel taux de rendement peut-on espérer lorsqu’on investit chez Moneybounce ?

L’année 2022 a été assez compliquée pour le secteur du financement participatif. Beaucoup d’acteurs ont eu des taux de défaut énormes, ce qui n’a pas été notre cas.

Nous proposons un taux annuel pouvant atteindre 8%. Ce qui impacte le portefeuille de l’investisseur, c’est le défaut côté client, et il y en a eu en 2022.

Mais celui-ci est resté acceptable, puisque le rendement que nous avons pu offrir pour 2022 à nos investisseurs a oscillé finalement entre 3.5 et 4% pour l’année 2022. On s’en est donc assez bien sorti, au vu de la conjoncture.

Quels sont les taux de vos mini-prêts ?

Plus le crédit est élevé, plus le taux est faible. Pour un micro ou un mini-prêt (inférieur à 500 €), vous serez sur le taux du TAEG donc 20.9%, mais cela représente finalement une perte indolore pour l’étudiant, on parle de quelques euros par mois..

Sur un prêt plus élevé, et financé par un de nos partenaires, le taux dépendra de la situation bancaire du demandeur : entre 2.9 % et le TAEG.

Pour le projet financé par Moneybounce, le taux se situera entre 5% et le TAEG (taux annuel effectif global), et sera le même quelle que soit la situation financière du demandeur.

Qu’est ce qui fait le succès de votre solution ?

Les gens ont avant tout besoin de micro-prêts, bien sûr,  mais c’est aussi notre parcours qui fait que les gens viennent chez nous : simple, rapide, 100% digital.

Notre approche dans notre manière de parler de crédit se veut responsable et éducative. On ne pousse pas au crédit à la consommation, avec des systèmes de relance à tout bout de champ. Nous refusons de tomber dans ces méthodes-là.

L’idée c’est de se positionner en tant que, certes, distributeur de mini-prêt, mais de garder toujours cette notion de responsabilité et d’éducation financière dans notre approche, d’aider tous nos clients à libérer leur potentiel financier en les accompagnant, au niveau de leur gestion de budget, mais aussi de leurs premiers investissements avec des petits portefeuilles, au travers notamment d’une application qui sortira à la rentrée, et d’une partie plus digitale, média, sur les réseaux sociaux et sur notre site.

Ce qui fait notre différence par rapport aux autres acteurs, c’est notre positionnement : nous cherchons à être leader dans l’éducation financière. Nous faisons par exemple la promotion du fait qu’un crédit c’est intéressant, mais qu’en réalité, il existe d’autres moyens d’améliorer sa situation financière, qui ne passent pas forcément par l’endettement.

Les clients apprécient ce positionnement et nous le montrent : nous comptons un peu plus de 30.000 clients par mois.  

 

Quelles sont vos ambitions pour la suite ?

Depuis notre lancement en septembre 2020, ce qui nous a vraiment sauté aux yeux, c’est le manque cruel d’éducation financière des jeunes. Peu d’acteurs essayent de s’adresser aux jeunes. Beaucoup évoquent la finance, la gestion de budget, mais un acteur qui centralise tout cela avec un discours à destination des jeunes, ça n’existe pas.

C’est la place que nous voulons avoir avec Moneybounce. L’objectif principal du média que nous avons lancé ce 04 juillet est d’aider les jeunes, les accompagner dans leurs premiers pas dans la gestion de budget, dans l’investissement.

Leur expliquer comment épargner, et évoquer tous les sujets liés aux finances, à l’actualité financière d’aujourd’hui, mais aussi celle d’hier, avec des interviews de personnalités, et toute une partie dédiée aux astuces et aux outils qu’on peut mettre à leur disposition pour améliorer leur santé financière.

Le crédit est à nos yeux une manière de résoudre un problème, pas une solution en soi. Nous voudrions que les jeunes n’aient en réalité pas besoin de nos micro-crédits, et qu’ils apprennent plutôt à économiser. Mais pour cela il faut avoir les bons outils et une vraie éducation.

Et c’est cet objectif que nous souhaitons atteindre via nos médias, et bientôt l’application sur laquelle nous travaillons encore et qui va être basée sur l’intelligence artificielle, avec un coach capable de vous accompagner au quotidien…

Si vous voulez avoir plus d’informations sur Moneybounce, leur site est accessible https://www.moneybounce.fr/ ou vous pouvez les suivre sur https://fr.linkedin.com/company/moneybounce

Marie-Ange Nodar
Écrit par
Marie-Ange Nodar est rédactrice de contenu pour FinMag, et est l’auteure de plus de 250 publications dans le domaine de la finance et des assurances en France. Au travers de ses interviews exclusives, elle transmet des conseils pratiques pour les professionnels et les particuliers souhaitant mieux comprendre et gérer leurs finances. Marie-Ange est titulaire d’un diplôme spécialisé en commerce international, et a vécu 8 années en Allemagne, avant de revenir s’installer en France.